Il faut dans un premier temps imaginer que dès que vous contractez le viager vous n’êtes plus détenteur de la propriété. Le prix de vente est payé par le biais d’une rente, chaque mois ou tous les trimestres. On dit que la rente viagère est indexée sur le prix de la vie, jusqu’à votre mort. Vous pourrez encaisser un capital pour une part de la somme. Le montant du bouquet est à fixer entre le preneur et vous. Vous pourrez vendre le logement libre ou occupé, également si vous vous maintenez un droit d’usufruit, vous pouvez très bien le louer pour aller dans une résidence de retraite, ou dans votre famille.
Demandez un bouquet en accompagnement de cette rente. Restez très sage sur le choix de l’acquéreur. N’oubliez pas que vous avez la faculté de négocier en viager à l’un de vos enfants, mais veillez à faire les événements de manière réfléchie, principalement au regard des autres héritiers. Toutefois, ne procédez pas cette opération avec un neveu ou une nièce en conservant l’usufruit du bien : à votre mort, la succession de 55 pourcents seraient due. Là vous n’êtes pas garanti. Contactez un spécialiste qui jugera si le bien est estimé à son juste prix, que le contrat présume une échelle de cette rente sur le coût de la vie, une distribution objective des charges également des tâches, également une revalorisation correcte si vous libérez l’habitation.
De quelle manière calcule t-on cette rente ?
Cela résulte de plusieurs facteurs :
la valeur du bien au moment du compromis
le loyer que vous pourriez en tirer
votre âge
si vous êtes un homme ou une femme
Dans une zone pour laquelle les loyers sont bas et les potentiels locataires peu nombreux, l’intérêt jouxte les 10 pourcents ; dans les quartiers plus couteux où la demande locative est supérieure, l’intérêt ne dépasse guère trois pourcents.