Quand on parle de placement épargne, il s’agit de réserver une certaine somme d’argent dans le but de l’utiliser ultérieurement. D’une manière générale, une épargne désigne un capital qu’une personne ou un ménage ne destine pas à être dépensé. Il sera utilisé dans l’avenir. Pour qu’il soit rentable, le placer dans un organisme financier comme la banque est nécessaire. Pourtant, avant de fixer le choix sur un quelconque type de placement épargne, il faudra connaître les avantages et les inconvénients de la durée d’une épargne. Elle peut être de long, de moyen ou de court terme.
L’argent déposé rapportera des intérêts et cette somme ne sera pas frappée d’impôts sur le revenu.
On distingue différentes sortes de placements, parmi lesquels les livrets d’épargne rapportent des intérêts assez satisfaisants.
Le Livret A, par exemple, offre un taux d’intérêts de 1,25 % par an. Cette épargne est fait pour tout le monde, elle est non imposable et ses retraits sont libres. Cette possibilité est profitable aux titulaires des comptes pour la réalisation de quelques projets, pour préparer les vacances ou pour parer d’éventuels aléas.
Les placements que l’on appelle volontaires et ceux connus sous l’expression placement forcé. Celui-ci regroupe les charges sociales et les impôts. L’État est le principal acteur dans ce genre de placement.
On aura le compte épargne logement (CEL). Il est indispensable en vue d’une acquisition future d’un bien immobilier. Ce procédé permet de disposer librement de son capital et l’épargnant peut procéder à des retraits à volonté. Il lui est également possible d’alimenter son compte à tout moment. Toutefois, il est tenu de respecter un montant maximum et minimum dans les retraits. On calculera ses taux d’intérêts périodiquement et ce tous les quinze jours.
