Pas simple de rédiger un article sur une notion aussi complexe ! Mais que retenir s’il n’y avait qu’une phrase pour la définir ?
La finance islamique, se fonde en rapport avec le droit coranique sur la condamnation de l’intérêt et l’importance de l’investissement social lié à l’investissement.
À propos des échanges de monnaie, le concept juge que tout excédent généré sur une transaction non basée sur des biens palpables au préalable possédés par le vendeur est illégitime. On retrouve alors dans cette classe d’effets prohibés toutes formes de prêts que l’on peut retrouver dans les banques officielles ou plutôt classiques dirons nous.
Dans cette conception la banque musulmane intervient simplement au cœur des marchés qu’elle arrose ; l’institution financière est cofinanceur et ne s’accorde pas la faculté d’engendrer des profits, elle s’indemnise sur les produits relatives de l’affaire. Ceci est notable pour les profits mais aussi les pertes.
Au cours de l’année 2011, le montant de l’ensemble des titres et effets qui n’ont pas encore atteint leur terme de la finance islamique a passé le cap des 1,000 milliards de $, consignant une nouvelle année d’accroissement extraordinaire, en croissance de plus de vingt % si on tient compte de l’année passée. Tandis que 25% de la démographie mondiale est de confession coranique, Les experts du secteur estiment que près de une cinquantaine de % de leurs économies sera tenue par la finance islamique d’ici une dizaine d’années.
Du fait de son jeune épanouissement dans le monde, la banque islamique est couramment en phase à des contrariétés législatives et des surcoûts fiscaux. C’est pourquoi des coins comme le Luxembourg ou le Pays Bas pour ne citer que les principaux, ont accommodé leur système pour éliminer ces contrariétés et ces surcoûts. La France est encore en retard mais depuis 2011 s’y met solidement.
Du point de vue de l’institution financière Islamique, l’argent est et demeure un sommaire agent de commerce. Néanmoins, ça n’interdis pas les institutions financières de conserver des valeurs. Tout simplement, l’organisme financier ne peut admettre de créer des excédents que dans la mesure où ils sont en amont changés en biens palpables.
Ce qu’on désigne par le bénéfice bancaire est autorisé dans le cadre de la charia si elle résulte d’une des facultés recevables : vente , collaboration , location, fabrication.